Afin d’examiner les moyens d’améliorer la gestion publique, L’Expansion a demandé à Cartes sur table et à cinq autres think tanks de passer au crible les pistes d’économies possibles.
Cartes sur table s’oppose à l’austérité et à la rigueur en période de crise – la Grèce a montré l’échec flagrant de cette politique – et estime que la restauration de la croissance doit constituer l’objectif prioritaire, la réduction des dépenses publiques ne venant qu’en second lieu. Inverser ces deux objectifs est une folie : chaque euro de réduction des dépenses publiques en période de crise détruit des emplois, freine la consommation et fait plonger les commandes adressées aux entreprises.
Des gisements d’économie existent néanmoins et permettraient d’optimiser l’utilisation des moyens publics : une dépense publique juste est en effet une dépense publique efficace.
Certains des gisements d’économie mis en avant par Cartes sur table peuvent sembler audacieux, mais tous reposent sur une même conception de la dépense publique : qu’il s’agisse de l’Etat, de la Sécurité sociale ou des collectivités territoriales, l’argent public doit être utilisé de façon pertinente et efficace, et aider en priorité ceux qui en ont le plus besoin.
Cartes sur table vous présente ici les réponses transmises au questionnaire de L’Expansion.
Télécharger les réponses de Cartes sur table au questionnaire de L’Expansion
Lire l’article de L’Expansion : http://lexpansion.lexpress.fr/economie/depenses-publiques-comment-trouver-60-milliards_373895.html
1 comment
macfan says:
Mai 16, 2013
Diminuer le nombre de fonctionnaires sauf dans l’éducation et la santé
Réduire le budget des collectivités locales, notamment au niveau des dépenses improductives (p.ex.immobilier somptueux) au profit des dépenses qui créent des emplois perennes
regrouper departement et région sur de novueaux découpages plus efficaces
dérembourser les médicaments inefficaces
Eviter la concurrence à tout va sur les infrastructures de monopoles naturels comme la fibre optique en ville- en imposant le partage-, et mettre l’argent non dépensé par les opérateurs dans un fond de pérequation national pour la fibre en zone moins dense.
faire developper les sites de l’assurance maladie par celui qui a fait els impots, ca marchera peut etre !